Marketing / Promotion

NOTRE COLLABORATION AVEC LES ENTREPRISES CHINOISES EST MATERIALISEE PAR UNE OFFRE DE VISIBILITE SUR NOTRE PLATEFORME VIRTUELLE MAIS AUSSI LA PUBLICATION REGULIERE DE NOS BROCHURES DISPONIBLES DANS TOUTES LES AMBASSADES AFRICAINES A PEKIN.

En Chine:

Nous sommes convaincus d’avoir fait le meilleur pari pour l’Afrique et la Chine en terme de complémentarité économique et commerciale et nos arguments sont les suivants:

  • Les exportations africaines vers la Chine sont majoritairement composées de matières premières de base telles que les minerais, les grains( arachides, sésame, cacao, noix d’acajou etc.. ) et les hydrocarbures. Ces mêmes produits auraient pu être exportés vers la Chine mais sous forme de produits finis ou semi-finis ce qui nécessitera la création d’unités de traitement, de conditionnement et d’emballage en Afrique avec les laboratoires déjà existants dans certains pays pour être aux normes d’exportation à travers le monde.
  • Une collaboration dans la technologie et le savoir-faire de la transformation agro-alimentaire avec les entreprises chinoises à maturation dans les secteurs des produits importés d’Afrique peut permettre aux industries africaines d’assurer leur mise à niveau et se tailler une part plus large de le commerce international.
  • La promotion du made in Africa en Chine dès lors devient la plus belle opportunité pour les africains de pénétrer le plus grand marché de consommation du monde.
  • La promotion des échanges commerciaux entre l’Afrique et la Chine peut non seulement aider les labels africains à se hisser aux standards internationaux, mais aussi rétablir l’équilibre de la balance commerciale encore trop déficitaire dans la plupart des pays africains et renforcer l’industrie d’exportation avec produits normés.
  • Les produits africains manufacturés en Afrique bien normés et exportés directement en Chine sont naturellement beaucoup plus abordables que les produits européens vendus en Chine avec une matière première venue d’Afrique.

En Afrique:

L’avenir de l’Afrique se joue aujourd’hui même et toutes les opportunités de prendre le relai de la Chine pour une croissance soutenue et inclusive lui sont offertes.

  • L’Afrique est un partenaire parfait pour la Chine en ce qui concerne le outsourcing des manufactures déjà trop encombrantes en Chine à cause de la maturation du secteur de la production, mais aussi les exigences de plus en plus drastiques des autorités chinoises sur les normes environnementales telles que la pollution de l’air et de l’eau.
  • Pour les industries orientées spécifiquement vers l’exportation, leur délocalisation en Afrique leur offre à côté d’une main d’œuvre moins chère, une position géographique plus confortable pour les marchés américains et européens.
  • La délocalisation intervient à plusieurs niveaux dans l’optimisation de la chaîne et coûts de la production ainsi que le transport puisque la matière première n’aura plus besoin d’être transportée d’Afrique pour la manufacture. A côté des deux grands marchés européen et américain, le marché intérieur africain à lui seule fait plus d’un milliard d’individus et les pouvoirs d’achat ne cesse d’augmenter avec l’émergence d’une classe moyenne.
  • Nos plus gros efforts dans le cadre de nos activités en tant qu’entité de facilitation des affaires pour les entreprises chinoises en Afrique, sont dépensés dans la communication entre africains et chinois. Même si de nos jours on assiste ragaillardis à l’augmentation continu du flux d’entreprises et d’hommes d’affaires chinois en Afrique, les informations nécessaires aux nouveaux visiteurs sont en majorité pas toujours pas obtenues comme voulues car la plupart des hommes d’affaires chinois viennent en Afrique via les réseaux de connaissance où le bouche- à – oreille domine encore dans le relai de l’information.
  • Nous existons aujourd’hui en tant que plateforme d’information, d’accueil, d’accompagnement et d’installation pour les entreprises et hommes d’affaires chinois dans le seul but de mettre fin aux défis d’adaptation et à l’hostilité socio-culturelle qui ont coupé court à beaucoup l’appétits et découragé un grand nombre de potentiels investisseurs en Afrique.